LES BIJOUX DE FAMILLE - Une farce électorale

Comme il y a dix ans avec "UBU Président", ou il y en a cinq avec "Le talon de fer", je me suis une fois de plus appliqué à produire un spectacle de théâtre amateur autour du climat électoral français.

Cette cuvée 2017 voit poindre (à en croire des instituts de sondages bien plus instrumentalisés par les partis et les médias qu'on ne saurait l'imaginer) le péril d'une extension de la peste brune à tout le corps républicain... même si - c'est mon opinion et je la partage - le lit de la Bête est fait depuis bien longtemps par le jeu de diverses concessions que nous ne sommes plus en droit d'ignorer avoir faites.

C'est en filigrane le propos que j'ai souhaité distiller dans la pièce que je vous propose de voir

LES BIJOUX DE FAMILLE

du mercredi 19 avril (bon anniversaire frangin !) 

au dimanche 23 avril 2017, 

au lieu dit "Le bahut" à Arcueil (94110) 

- espace connu de ceux qui suivent de longue date les activités de la compagnie Falaises et Plateaux - fondée de main de maître par Benjamin Sisqueille et reprise voilà maintenant dix ans par mes collègues Mathieu Mottet, Anne-Karine Musy et moi-même, rejoints par Julie Tricarico quelques années plus tard.

 

La réservation est fortement conseillée (jauge réduite)

par mail à l'adresse indiquée sur l'affiche.

Je profite de cette tribune d'information autoproclamée pour remercier les comédiens qui portent avec talent ce spectacle courageux, tragi-comique, et je l'espère propre à susciter la réflexion :

MERCI à Robinson, Baptiste, Benyamin, Ciann, Laurine, Chloé, Noé et Gaia !!!!

avec une mention spéciale à Chloé qui a joué également dans "Ubu président" et "Le talon de fer" (elle aura donc joué toute ma "trilogie électorale"...) et Noé et Baptiste qui auront joué eux aussi dans "Le talon de fer".

PS non pas du parti socialiste (RIP) mais du scriptor :
La chanson "La danse des concessions" qui ouvrait le spectacle, composée par Michel Dimichel, peut être ici écoutée dans son orchestration et interprétation officielle par Finrod Artiwele (merci vieux, c'est formidable !)